Ironies du Sort
Culture

Ironies du Sort est mon deuxième roman, un roman qui me tient à coeur de sortir puisque c'est le premier tome d'une saga que j'aimerais écrire sur les difficultés et les méandres de la drogue, et surtout sur les rencontres, la générosité, et les chances que l'on peut nous donner dans ce genre de circonstances. Il s'adresse surtout à cette jeunesse qui est en difficultés aujourd'hui et qui a du mal à croire en l'avenir quand on voit tout ce qui se passe autour de nous.

Ce roman raconte l'histoire d'une jeune femme morose, qui plonge dans la drogue pour donner un semblant de soleil dans sa vie et qui, par des ironies du sort, arrivera peut-être à retrouver un goût son existence.


Pourquoi vouloir réaliser ce projet ?
Je m'appelle Jessica Morey j'ai 26 ans, et j'ai toujours cru en mes rêves. Je suis de ces artistes qui se battent tout le temps pour leurs idéaux.
J'ai fait un bep secrétariat, et j'ai obtenu un Bac Gestion et Finances des entreprises. Je voulais partir dans le Littéraire mais mes parents n'ont pas suivi alors j'ai arrêté les cours, j'ai travaillé et fait pleins de petits boulots (usine, employée de libres services, employée de restauration, barmaid)
Finalement je me suis retrouvée dans un hôtel restaurant discothèque en tant qu'employée là-bas où j'avais ma chambre de fonction, et c'est là-bas que je me suis révélée en tant qu'auteur.
J'ai commencé à écrire un premier roman, intitulé Libertine que j'ai publié à compte d'auteur, j'ai du payer 4000 euros de ma poche pour faire sortir ce roman en 15 000 exemplaires et je touche seulement 20% par livvre. Cependant je ne toucherais pas mes royalties avant mars 2015 donc en attendant, je suis au pôle emploi, je touche 500 euros par mois, et je ne peux pas vivre avec une telle somme. Donc mon ex patron, qui, merci à lui, à le coeur sur la main, a proposé de me loger pour le moment à titre gratuit, le tant que j'arrive à vivre de ma passion.

J'écris tous les soirs, et j'arrive à noircir énormément de pages, c'est comme cela que Ironies du Sort a vu le jour, cependant, la nouvelle maison d'édition que j'ai choisi pour ce roman, Les Auteurs Libres et une structure d'aide à l'auto-édition. Je suis donc sur une plate-forme d'aide à l'auto-édition (cela veut dire que garde à 100% mes droits d'auteur, ce qui est super important à mes yeux, de plus je toucherais le prix intégral par roman donc les 14€) et je dois donc encore payer une somme pour publier ce nouveau roman. J'ai le couteau sous la gorge, mon banquier n'accepte pas de me faire un autre prêt, (comme j'ai du en faire un il y a 8 mois pour publier Libertine) et mes parents ne peuvent pas non plus m'aider.

Je ne tiendrais pas l'année en tous les cas à ce niveau-là, à moins d'arriver à obtenir une subvention pour payer les romans papiers de Ironies du Sort, ce qui ferait que je pourrais m'en sortir en les vendant et les dédicaçant moi-même en librairies.
Je veux vraiment que ce projet voit le jour, je fais un maximum de tapages autour pour que cela marche, interview télévisées, radios, presses, j'ai un maximum de journalistes qui acceptent de me recevoir, cependant les frais occasionnés pour mes déplacements me font couler encore plus.
J'arrive à un stade où je ne sais plus quoi faire pour que ce roman soit publié, je sais que j'ai un réel talent d'écriture et je ne compte pas baissé les bras aussi facilement, mais je ne tiendrais pas de sûr financièrement jusqu'à la fin de l'année, c'est pour cela que je me permets de venir vers vous.

De plus si mon roman explose comme j'en suis persuadée je serais ravie d'être enfin contactée par une maison d'édition à compte d'éditeur.


Quels sont les besoins pour la réalisation de ce projet :
J'avoue qu'il n'y a pas 36 solutions, je dois en parler avec vous,

Pour le moment j'ai fait ce que l'on appelle une pré-vente, une réservation par Internet pour mes lectrices et lecteurs qui aimeraient réserver en exclusivité le roman, avec une photo dédicacée de ma main pour chaque roman et je l'ai mis au prix de 12€ seulement au lieu de 14€
Mais ce système fait peur, et la plupart des personnes qui m'en ont parlé m'ont affirmées vouloir attendre le roman papier pour l'avoir tout de suite, et qu'ils préfèrent que je le dédicace devant eux.
J'ai réussi depuis ces quinze derniers jours à obtenir un micro-crédit de l'Adie, une association d'aide pour les auto entreprise, et ainsi j'ai pu envoyer l'impression papier de mes romans.
Ce dont j'ai besoin à présent c'est d'un complément de cette aide, avec l'obtention du clap, afin de pouvoir payer tous mes déplacements professionnels pour les séances dédicaces et les
rendez-vous pro qui seront importants pour le roman.



Contact :
jessicabyjs@gmail.com


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